vide coeur - ma vie après ma vie . . .

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Ce que j'ai ressenti lors de cours pratique . . .

Pour ceux qui souhaitaient affiner leur perceptions (tactiles ou autres) et qui n'avaient pas la possibilité (par manque de matériels ou de place) de s'exercer sur des personnes de leurs entourage, ma première enseignante proposait des cours d'applications 1 à 2 fois par semaine et 1 fois le week-end, cela durait entre 2 et 3 heures.

Nous était proposé des exercices de relaxations, de méditations, de visualisations. Nous étions ensuite répartis par groupes de 3 ou 4 personnes et chacun notre tour, nous donnions ou recevions un soin plus ou moins long selon le temps qui nous était impartis. Notre enseignante nous observait et corrigeait notre posture, quand elle le jugeait nécessaire. Elle était aussi ouverte pour répondre à tout questionnement de notre part, concernant ce que nous aurions pu éventuellement ressentir lors de l'exercice.

J'ai beaucoup apprécié ces cours qu'elle appelait "atelier", car ils m'ont permis de progresser, d'affiner mes perceptions : au fur et à mesure du temps, j'arrivais à sentir l'énergie du Reiki sortir de mes mains et se disperser dans la région du corps concerné jusqu'à ce que cette zone n'en aie plus besoin ! ! ! C'est comme le réservoir d'une voiture que l'on remplirait jusqu'à plein ! ! ! Sauf qu'avec le Reiki, ça ne déborde jamais ! ! !

Ce fut aussi la possibilité de mettre en oeuvre, certaines techniques d'appositions acquises avec d'autres maîtres et l'occasion de rencontrer des personnes, avec lesquels je me suis lié d'amitié par la suite.

Notre enseignante nous appris à "faire contact avec la terre" : je l'utilise lorsque je ressens un mal être intérieur et que je veux l'éliminé, c'est comme être enraciné. Je me concentre sur mon tanden (endroit situé 3 doigts sous le nombril) et j'imagine l'énergie se dirigé vers le centre de chacun de mes pieds et être évacuée dans le sol. J'ai eu l'idée de le pratiquer lors d'un atelier, et senti que ça me permettait de prendre plus de distance avec la personne traitée.

Il y eu aussi la technique de "la main qui appelle" : elle nous demanda de regarder le corps de la personne et de poser la main là où on sentait que le corps le demandait. Ce qui se passa, lorsque je prenais le métro par exemple, c'est qu'en regardant une personne, j'arrivais à percevoir quel endroit nécessitait un traitement ! ! ! 

J'assiste de moins en moins aux ateliers mais seulement parce que je n'en ressens pas le besoin. Mais de temps en temps, j'aime y recevoir un soin : "En donner c'est bien, mais en recevoir, ça fait du bien aussi ! ! !"

 

 



16/12/2009
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